Presse

La PRESSE en parle, d’autres aussi … et d’autres encore diffusent !

AVRIL MAI JUIN 2020
Classement QUOTA réseau de 17 radios locales
« Il paraît que demain »
parmi les 35 premiers albums classés

À propos du CD « Il paraît que demain »
Le nouvel opus de Jean-Michel Brac est un voyage. Il nous embarque en mots et en musique au coeur des idées, des images, des rêves et des révoltes. Il le fait d’une belle écriture, solide et précise, avec le concours intelligent d’excellents musiciens (Patrick Pernet, Patricia Steinhoff, Vincent Gaillard et lui-même…) dont les notes permettent à sa plume de voler encore plus haut. Moderne sans être mode (« Amour de smartphone »), insolite (« Une chaise se met à table »), un zeste de Leprest, une pointe de Lapointe, bref, les meilleures références qui soient et des irrévérences bienvenues. Avec ses précédents albums, nous avions pris la mer. Cette fois-ci, l’horizon est encore plus large : sur ses nouvelles chansons, nous prenons l’amour.

Claude LEMESLE (auteur de plus de 3000 chansons, Président d’honneur de la Sacem, chansons pour Joe Dassin, Michel Sardou, Serge Reggiani, Bécaud, Lenormand, Mouskouri, Aubret, Carlos, Montagné, Sacha Distel, Michèle Torr, …)

Revue Chanson FRANCOFANS AVRIL-MAI 2020 (page 69)

Julie de BENOIST

Ce sixième album de Jean-Michel Brac, Il paraît que demain est le disque de chanson française par excellence. Maniant les mots avec dextérité, dans la pure tradition des grands noms de la chanson comme Brassens ou Ferré, Jean-Michel s’attaque à nos dérives modernes comme dans Amour de smartphone ou encore Écran à cran. Tantôt accompagné d’une guitare, ce sont soudain des violons qui accentuent encore la musicalité poétique d’un texte comme Du rouge dans les roses. De surprenantes influences rétros des années 80 viennent également nous cueillir au détour d’un titre Carte postale et nous montrent que ce chanteur intemporel est de toutes les époques. Tel un porteur de mémoire, Jean-Michel Brac est un digne représentant de la chanson classique qui nous accompagne depuis plusieurs décennies et qui, on l’espère, trouvera encore longtemps des artistes inspirés pour la faire vivre et voyager.

HEXAGONE Revue trimestrielle de la Chanson

Automne 2020 n° 17

Jean-Michel BRAC « Il paraît que demain »

Il paraît que demain est le sixième album d’un parcours discographique débuté en 2008. Ce n’est plus en terres bretonnes que se propose de cheminer Jean-Michel Brac (En passant par la Bretagne, 2017), mais sur ce constat mélancolique : « Il paraît que demain ce s’ra la fin du monde ». Dans les remerciements, l’album rend hommage à Claude Lemesle et Marc Lequenne, tous deux animateurs bénévoles d’ateliers d’écriture depuis des décennies. Et effectivement, on sent chez le chanteur cette affection à aller laisser la plume au gré des aléas, d’un exercice à l’autre, afin de répondre à une contrainte stylistique, voire musicale. D’où ce kaléidoscope accompagné musicalement par Patricia Steinhoff et Patrick Pernet, entre synthétiseur, piano-voix et biniou. D’où ces tours de force, comme Crabi crabichou qui, sur une musique un peu fantasque, déploie toutes les facettes de ce crabe-cancer qui pince et égratigne. Ecrire, pas pour mettre sa peau sur la table comme le préconisait Louis-Ferdinand Céline, mais comme on se met à table. Dans Ecran à cran ou encore Une chaise se met à table, récitatif épique, on sent le cousinage indéniable du Stéphanois Lavilliers (Les aventures extraordinaires d’un billet de banque). A visionner, les clips issus de quatre titres : le nostalgique Les jours dorés sur tranche, le poétique Il paraît que demain, l’épileptique Ecran à cran et Berlin Berliin, jolie visite de la ville.

Tout ceci est très bien fait.

Flavie Girbal

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NOS ENCHANTEURS AVRIL 2020 Michel KEMPER

Si ce disque n’était sorti durant cette pandémie, il aurait trouvé pour cadre une autre catastrophe, climatique ou guerrière. L’homme est, à ce titre, d’une imagination sans limite. N’empêche que, écouter en confinement la chanson-titre vous en fout un coup : « Il paraît que demain ce s’ra la fin du monde / A qui tendre la main pour sortir de la ronde ? » Je ne sais si le poète a toujours raison, s’il voit plus haut que l’horizon : il chronique en tout cas le temps présent comme pour alimenter utilement notre mémoire de demain.

C’est à l’image du visuel du disque : Le Brac nouveau a changé de ton. Il a jeté l’encre plus loin, en des eaux plus profondes. On dira que Brac a changé de braquet : amusés, les musicologues (pas les chroniqueurs de variétoche, pas eux) retiendront cette expression. Les propos de l’artiste sont moins enjoués, plus sombres. Bien sûr, il y a de beaux restes, des traits d’humour et des croissants trempés dans le café, où notre cuillère touille indifféremment sucre et mélancolie, bien sûr « on roucoule des poèmes et on plume des poèmes ». J’en connais au moins un qui a écrit Les mémoires d’une table, un autre celles d’un cul sur la commode : lui chante Une chaise [qui] se met à table : ça en fait des histoires de fesses… Bien sûr…

Mais l’ambiance, sinon baisse, au moins change d’un ton. Paradoxalement c’est plus joli encore, l’effet que ça fait dure plus longtemps. Est-ce le fruit du travail mené avec Claude Lemesle qui s’est acharné sur lui en atelier d’écriture ? Ça baigne dans une douce mélancolie, comme dans ce superbe Berlin Berliin : « On ira à Berlin pour oublier nos ruines / Nos deux cœurs sur la brèche se demandent où ils pêchent / Là-bas cette fois c’est sûr, on f’ra tomber nos murs ». Comme cette valse où le souvenir autant que les regrets accompagnent La mère Strapontin dans les allées d’un cimetière. Joliment beau, vous dis-je. Comme ce titre sur le crabe alors qu’on en pince pour la vie.

http://www.nosenchanteurs.eu/index.php/2020/04/10/brac-lencre-bien-plus-loin/

REVUE DE CHANSON   RECRE’ACTION  N° 107

OCTOBRE NOVEMBRE DECEMBRE 2023

« Il paraît que demain » Jean-Michel Brac CD 14 titres, France. www.jeanmichelbrac.com

« J’en ai sout’nu beaucoup des fesses et des jambons Des charnues, des pointues aux promesses dodues Ceux qui trônaient bien fiers, le cul entre deux chaises Des chanteurs d’opéra à l’heure de l’apéro Des héros fiers à bras qui pét’plus haut qu’leur cul Des étranges, des malingres en short ou même en kilt ». (« Une chaise se met à table ») Ce nouveau disque de Jean-Michel Brac est un petit bijou. Chaque chanson possède son habillage musical. Les arrangements de Patrick Pernet, également le pianiste de cet album, enchanteront l’amoureux et l’amoureuse du travail bien fait. De l’originalité et beaucoup de poésie dans ces quatorze morceaux. Une surprise attend l’auditeur et l’auditrice après la quatorzième plage. De plus, nous avons le droit à une farandole des instruments de musique pour (presque) finir en fanfare. Parmi ses trouvailles, notre artiste troubadour a imaginé une chaise narratrice (« Une chaise se met à table »), l’histoire d’un crabe (« Crabi Crabichou ») et des tas d’autres à découvrir. « Il paraît que demain » contient « Carte postale » un fort joli texte sur une rupture amoureuse, ainsi que « Du rouge dans les roses », une perle brillante à ce collier artistique qui m’a beaucoup ému. Coup de cœur du trimestre

« Album…superbe ! J’ai trouvé également les clips très efficaces et poétiques, avec une préférence pour « il parait que demain ». Pochette très belle, prise de son super et textes bien en avant et le contenu fait de Jean Michel Brac un artiste de rigueur et de qualité. »

Jean-Pierre Réginal (auteur-compositeur-interprète)

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NOS ENCHANTEURS   AVRIL 2020

Catherine LAUGIER

D’un coup les notes s’emballent, presque se révoltent : Brac a des visions de télés, d’écrans, Big Brother sur les dents : « Boutons ouvreurs de vide, discours malade / Visages sans une ride / Trop de pommade / Branchés sur votre peur au fond de vos cages / C’est l’absence des heures, arrêt sur image », comme une situation confinée…
En empathie avec les mots, les musiques sont gracieuses, voluptueuses à certains titres quand elles se projettent dans les cordes ; guitare et piano jouent leur pertinentes partitions.
Sous l’humour, parfois l’incongru, les constats et autres indignations, jamais loin des copains et des chopines, c’est un artiste complet, bigrement intéressant qui se dévoile plus encore, qui vous arrache parfois sinon des larmes au moins ses ingrédients, qui appelle le respect, l’attention, la superbe écoute qu’il mérite. Il paraît que demain, chante-t-il. Si Brac peut nous accompagner dans ce demain, ce sera forcément bien. C’est parce que vous ne le connaissez pas encore qu’il vous faut le découvrir : ce serait bête de passer à côté.

http://www.nosenchanteurs.eu/index.php/2020/03/25/jean-michel-brac-ecran-a-cran/

.RÉCRÉACTION n°96 JUIN 2020

« Il paraît que demain »   Jean-Michel Brac

1 CD/15 titres – Production La Fourmi bleue

Dans ce disque, l’auteur – tel un voyageur – dévide ses textes comme des perles.
En passant par un petit tour par Berlin, il déambule à travers ses 15 chansons, sans illusions mais aussi sans tristesse. Il le fait plutôt avec humour comme dans «Une chaise se met à table», «Amour de smartphone» ou encore «Quand on est amoureux».

Il a su s’entourer de Patrick Pernet, Patricia Steinhoff, Vincent Gaillard et Anton Jacoulev, musiciens bien complémentaires avec la voix de Jean-Michel Brac.

À découvrir du même chanteur «En passant par la Bretagne», comme vous l’aurez compris c’est de là qu’il vient. ✍Joël

 

J’ai écouté le nouveau CD de Jean-Michel BRAC « Il paraît que demain » avec grand plaisir, étonnée qu’il soit encore en progression, si peu de temps après le précédent « En passant par la Bretagne ».
La première chose qui frappe est l’excellente prise de son, la seconde la statistique plus élevée de mots, la troisième l’originalité -que dis-je – l’intelligence et la qualité des arrangements, la quatrième la présence et la liberté de plus en plus grande – et inattendue – de la comédie (quelle présence et quelle voix !).

Une seule chose manque peut-être à la sentimentale que je suis : une seule mélodie assez entêtante, voire hypnotisante qui se déposerait dans la mémoire comme l’avait fait l’Ile de Batz.  Mais cette grâce arrive tellement par hasard…

Chantal GRIMM (auteur, compositrice, interprète, conteuse, programmatrice)

NOS ENCHANTEURS
BRACIl paraît que demain, avril 2020 – Site : www.jeanmichelbrac.com
http://www.nosenchanteurs.eu/index.php/2020/03/25/jean-michel-brac-ecran-a-cran/
Jean-Michel Brac

Boutons ouvreurs de vide
Discours malade
Visages sans une ride
Trop de pommade
Branchés sur votre peur
Au fond de vos cages
C’est l’absence des heures
Arrêt sur image
Une nuit de vision
Big Brother sur les dents
Je n’étais plus un pion, plus un pion
J’ai scratché vos écrans, à cran

Paroles Jean-Michel Brac, Musique Jean-Michel Brac et Patrick Pernet.
Extrait de l’album « Il paraît que demain » (2020)

« Ecran à cran » Clip réalisé par Mathieu Duboscq, avec Gaspard Blet et Sophie Racamier. Une chanson et une vidéo à fort impact, impressionnante, on attend l’album, différé par les événements, avec impatience !
JOURNAL SONGAZINE   Avril 2020
https://upload.latest.facebook.com/Songazine/posts/1607754239392614

Jean-Michel Brac est un auteur-compositeur interprète talentueux qui joue sur les mots et surfe sur les mélodies.

Son dernier album s’intitule « Il Paraît Que Demain » et il nous livre 14 morceaux de son cru 2020, année 20+20 = 40aine pour tout le monde !

Il aborde des thèmes actuels, ancrés dans notre société (la fin du monde ooops, les écrans qui nous envahissent, ZE smartphone outil des zamours,…), aime à nous faire voyager (Berlin, nostalgie des cartes postales, …). Il n’hésite pas à changer de point de vue et fait parler une chaise, évoque la Mère Strapontin au Père Lachaise. Bien sûr, il n’oublie pas les chansons d’amour avec ou sans regrets, avec ou sans roses rouges !

Il a déjà composé moult albums et des tonnes de chansons et ici alterne les moments doux, les compositions plus rythmées et nappées de synthétiseurs. Faisant partie de ceux qui ont suivi des formations avec le grand Claude Lemesle, il n’omet pas de le remercier, sans oublier Marc Lequenne, fameux animateur d’ateliers d’écriture au long cours de la CLEF, Saint-Germain en Laye (port d’attache de notre artiste, dont le cœur est bien entendu en Bretagne).

Chanson française de qualité, impeccable et cousue sur mesure, que voulez-vous de plus pour distraire vos oreilles et cultiver votre esprit ?

Nous vous conseillons vivement de regarder ses clips !  Jérôme Vaillant

SITE www.jeanmichelbrac.com (Presse, Discographie, Clips, …)

« Il paraît que demain » https://www.youtube.com/watch?v=cMegJGOGdXE

« Berlin Berliin » https://www.youtube.com/watch?v=VWny3Fv1Y8M

« Ecran à cran » https://www.youtube.com/watch?v=XHmRRx9rFvY

« Les jours dorés sur tranche » https://www.youtube.com/watch?v=6MBsnvsxsUk

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CD « EN PASSANT PAR LA BRETAGNE »
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Yves DUTEIL
Me voici à l’écoute du CD « En passant par la Bretagne », touché par les embruns soignés de ces chansons, de leur sillage de cordes et leurs arpèges de guitares, sur poésie marine. La simplicité de l’ensemble ne trompe pas l’auditeur attentif quant au travail qui se cache sous la fluidité et la douceur. Bravo Jean-Michel BRAC, je souhaite bon vent à ce navire pour qu’il arrive à bon port dans le cœur du public … et qu’il s’y ancre à demeure.
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À propos du CD « En passant par la Bretagne »
Les textes et les mélodies de Jean-Michel Brac respirent l’air du large et les longs sanglots des vagues. Cela sent le varech et le sel des embruns. Mais la pointe du Raz, quand on l’y croise, est souvent jumelée d’une pointe d’humour et les éternels récifs récitent la tendresse des générations éphémères. C’est le folklore toujours réinventé, la mer immortelle et l’amour plus increvable encore… C’est la tradition dans sa force insubmersible d’actualité. Chaque départ de chanson est une chanson de départ qui délivre sa part de rives et de rêves. Ce nouvel opus de Jean-Michel m’a ravi comme il vous ravira dans le sens où il vous fera plaisir tout en vous emportant loin, très loin. Décidément, la belle ouvrage a encore de longues traversées devant elle.
Claude LEMESLE, auteur à succès de plus de 3000 chansons (Johnny Hallyday, Michel Fugain, Joe Dassin, Serge Reggiani, Michel Sardou, Gilbert Bécaud…)
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HEXAGONE
Revue trimestrielle de la Chanson
Hiver 2019
En passant par la Bretagne
Pour son cinquième opus, Jean-Michel Brac met la barre à tribord vers les terres bretonnes, assisté de ses deux matelots Patricia Steinhoff au violon et Patrick Pernet aux claviers. Un périple musical nostalgique, tendre et intemporel, où l’on côtoie tour à tour les pilleurs sans entraves, les marins de Ménéham, les habitués du Café du Port avant de jeter l’encre pour un dernier « bonjour aux sirènes ». DB

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FRANCOFANS
13 NOVEMBRE 2019
Nouvelles balades
avec Jean-Michel Brac
En 2018 sortait le cinquième album de Jean-Michel Brac, En passant par la Bretagne. L’artiste nous faisait voyager à l’Ouest, dans le Finistère Nord et nous touchait, nous enchantait par son regard sur les petites choses qu’on ne voit plus et qui impactent pourtant le monde. Jean-Michel Brac est un romantique, un contemplatif autant qu’un artiste concerné.
Comme les voyages forment la jeunesse, Jean-Michel Brac continue ses explorations et nous en propose de nouvelles pour son sixième album à paraitre en mars 2020 et qui s’intitulera Il parait que demain.
Voici ce qu’il nous en dit : « Il va nous faire valser des jours dorés sur tranche, quelques écrans, une Mère strapontin du Père Lachaise, un crabe, des amoureux, un café et trois sucres, … Dans mon prochain CD,  il y aura tout ça … et bien plus encore! »
Découverte d’un premier clip, de retour d’un voyage d’une des villes les plus surprenantes d’Europe : Berlin.
https://www.accfa.fr/2019/11/13/nouvelles-balades-avec-jean-michel-brac/

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Yves UZUREAU (auteur-compositeur-interprète)
J’ai écouté très attentivement et avec beaucoup de plaisir le CD de Jean-Michel BRAC « En passant par la Bretagne ». Il sait de toute évidence écrire de belles chansons et les chanter. Belle voix et très chouettes arrangements. CD où apparaît le regretté Didier Desmas. Bravo encore et bonne continuation dans cette direction poétique.

 

Jean-Pierre REGINAL (auteur-compositeur-interprète)
Tout d’abord ce nouveau CD de Jean-Michel BRAC « En passant par la Bretagne » est parfait sur le plan de la réalisation technique, qualité du mixage et surtout présence de la voix et des textes. Parfaite articulation également des mots et forte personnalité émotive du timbre de voix. L’ensemble du CD ne trahit jamais la beauté puissante de la Bretagne et rejoint à mon avis largement les Glenmore ou Alan Stivell. Je n’ai pas la recette de la promotion radiophonique, mais cet enregistrement devrait rendre service au moins aux médias bretons… et lui décrocher quelques concerts. Belle réussite aussi des instrumentistes pour le climat musical de l’ensemble, je ne vois pas quel « bémol » apporter. C’est un CD qui s’écoute et se réécoute. Je ne privilégie aucun titre en particulier. Ce CD me semble être une peinture dans la continuité de la Bretagne et de son âme. Jean-Michel BRAC a bien tracé son chemin de qualité au fil des années et je connais tellement les difficultés de ce métier que je ne saurais envisager pour lui autre chose que les fondamentaux que nous essayons de préserver, le bonheur que l’on prend à écrire, puis le rendez-vous avec le public.
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À propos du CD « En passant par la Bretagne »
Merci pour ce beau disque. ! Déjà, par le graphisme, la présentation est très convaincante. J’ai aussi trouvé les clips très sympas. Je connaissais déjà –et me rappelais- l’île de Batz et le Rendez-vous chez les baleines. J’ai aimé la grande cohérence de ce disque. Le poète est là avec ses paysages du dedans et du dehors, ainsi que le mélodiste, et j’ai particulièrement ressenti l’ambiance des Rochers de Meneham. C’est en tous cas ce qu’on appelle une œuvre de maturité.
Chantal GRIMM (auteur, compositrice, interprète, conteuse, programmatrice)

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NOS ENCHANTEURS
MAI 2018
Michel KEMPER
De Breizh et de Brac
Nouvel album pour Brac qui semble aimer les visuels insolites qui, hélas, ne savent pas rendre le contenu de ses disques. Car la fantaisie, sur ce troisième album comme sur les précédents, ne réside pas vraiment au mitan de ses chansons.
Jean-Michel Brac est un artiste passionnant qui, « l’cœur en bateau, l’cœur en ruisseau, l’cœur à vau-l’eau », ne nous parle que de la mer et des marins, des iles (île Batz, île d’Ouessant, le phare de l’île Vierge…). De sa Bretagne. Qui ajoute au patrimoine de l’Ouest de bien belles pièces, de celles qui pourraient sans mal, à l’instar de celles de Louis Capart, François Budet ou Michel Tonnerre, inspirer nombre d’interprètes en quête de solides chansons et connaître un jour le plus beau sort qu’une chanson puisse espérer : exister longtemps sans qu’on se souvienne du nom de son créateur.
Pas un texte qui ne ruisselle d’eau, sauf dans son verre : « Le marin c’est bien zinzin / La pêche aux verres il trouve ça sain / Question cafés, jamais en rade / Son préféré c’est Chez Rasade ». Là ou au Café du port où « On vient jouer aux dés / C’est pour chatouiller l’bon l’mauvais sort ».
La mer et ses malheurs, ses pilleurs : « Pas une voile / Pas un écho / Il ne reste que des baleines / Et notre peine, et notre peine / Pas une étoile / Juste de l’eau / Il ne nous reste plus que les phoques / Nos cœurs en cloque, nos cœurs en cloque… » Mélancolie, désirs de mer, vagues à l’âme, le chant de Brac est en lui douce mélodie sculptée par le norois et par le sel, solide comme le granit, câline comme parfois l’est la houle, importante comme une marée plus haute qu’une autre.
Petite formation musicale faite de guitares (dont celle de notre ami disparu Didier Desmas), d’un violon et d’un bandonéon, tous deux joués par Patricia Steinhoff. Et chanson intemporelle que le présent ne fixe pas, qui vaut pour hier et pour demain, chanson de gréements et d’agrément. Il est étonnant que cet artiste, ce Jean-Michel Brac, ne soit pas plus connu. Il mérite tous les passionnés de la mer, les femmes de marins (leurs maris aussi), les bars sur les ports et dans les terres intérieures, la Bretagne en son entier, les amoureux de la chanson.
http://www.nosenchanteurs.eu/index.php/2018/05/15/de-breizh-et-de-brac

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Revue Chanson FRANCOFANS
JUIN-JUILLET 2018
Stéphanie BERREBI
« En passant par la Bretagne »
(Production La Fourmi Bleue)
Si dans chacun de ses quatre premiers albums Jean-Michel Brac avait déjà évoqué la Bretagne, ce cinquième opus est entièrement consacré à son pays d’attache. Sous-titré Ouessant et autres dérives nous suivons les balades du chanteur dans une ambiance musicale aérienne (guitares, violon, claviers, percus, bandonéon, …). Le cœur chargé de mélancolie dans une des plus belles régions de France, il nous fait ouvrir l’œil sur ce que l’on ne voit pas assez. A travers ce disque, Brac raconte à sa manière le passé, le présent et le futur de ces petites terres, l’évolution de la grande ville (Brest même), ses guerres (Ouessant sang dessus dessous), l’inaction des hommes menant petit à petit à la destruction des plus belles choses que la planète ait à nous offrir (Pilleurs d’épaves, La Baie de Goulven) et rend un bel hommage aux marins (Le marin, Le phare de l’Ile Vierge). Définitivement, chez Brac, la Bretagne ça vous gagne !

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LYLO
« Le marin c’est comme le vin, parfois tout rouge, parfois chagrin ». C’est comme le dernier album de Jean-Michel BRAC. Parfois mélancolique, parfois drôle, parfois dénonciateur. Pour son cinquième opus, « En passant par la Bretagne », l’artiste propose un itinéraire en treize étapes dans le grand ouest français. De l’Ile de Batz au phare de l’Ile Vierge, en passant par Ouessant, Goulven ou Ménéham, l’auteur titille les imaginaires et esquisse les forces du grand large, la dernière tournée des matelots au Café du port, l’amour au fond des abers …
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Revue SONGAZINE
AVRIL 2018
Jérôme VAILLANT

Jean-Michel Brac est un vrai, un authentique auteur-compositeur-interprète. Oui, les amis, contrairement à d’autres, c’est lui qui écrit les paroles et la musique et lui qui chante, joue la musique qu’il compose. Et ce n’est pas un mince exploit !
Son dernier album, est 200% imprégné de sa région de cœur, la Bretagne. Celle du bout du bout, quand la prochaine étape est New York. Il nous emmène à Brest-même, Ouessant, au phare de la Jument, là où les cailloux vous coulent un navire en moins de deux, et partout où les vagues peuvent se dresser plus haut qu’un château d’eau. NB : mais pourquoi, gast donc, boire de l’eau ? Nous allons cap à l’Ouest, tout à gauche de carte de France, là où les maisons sont en pierre dure et les têtes de la même matière, la mer n’y est pas une flaque ensoleillée dans laquelle nagent trois rougets et demi, mais des congres qui mordent avec des tempêtes quotidiennes qui vont rugissant. Il lui rend hommage dans l’intégralité des treize chansons de son album, En passant par la Bretagne, et elle ferait bien de lui dire merci, voire de lui payer quelques verres et une reconnaissance en granit rose. Les textes sont évidemment très soignés, évocateurs et poétiques, Jean-Michel étant un adepte talentueux d’ateliers d’écriture de longue date… les mélodies sonnent juste et bien, voici donc de la chanson de qualité.
Coup de chapeau au travail artistique de la pochette du CD, photos évocatrices, livret avec les paroles pour mieux les déguster. Songazine, dont la rédaction est infestée de bretons, est donc là pour le recommander et d’ailleurs attend de siffler un bon coup de gwin ru avec l’auteur !

Crêperie Saint-Yves
27 rue Saint Yves 22200 Guingamp 02 96 44 31 18
Labellisé « Crêperies Gourmandes » et « Qualité Tourisme »
Depuis maintenant un paquet d’années, Jean Michel Brac vient chaque été au mois d’août animer une soirée chanson. Avec sa guitare, il propose un répertoire de chansons françaises et de compositions personnelles. Ces soirées sont très appréciées des clients qui volontiers battent la mesure ou chantent avec lui. Certain d’entre eux réservent leur table en fonction de son passage chez nous. Les soirées en chanson Brac sont vraiment adaptées à un repas convivial et festif.
Olivier & Clémence
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Didier Desmas
Directeur du Centre de la chanson, Paris

J’ai vu récemment Jean-Michel Brac au Théâtre Darius Milhaud à Paris. Il fêtait la sortie de son nouvel album « Chansons liquides ». le chanteur était donc ce soir-là d’humeur marine.
Derrière une stature imposante et une barbe de timonier se cache un acrobate du refrain à l’aise dans tous les registres. Il sait nous mettre en confiance et ses musiciens, Patricia Steinhoff (violon) et Patrick Pernet (clavier) ne restent pas à quai, ils prennent même une part active au climat amical que l’artiste sait installer avec le public.
Un peu rêveur, un peu sage, un peu loufoque, Brac nous parle de ses vagues à l’âme, de son grain de folie et de la Bretagne qui lui est chère. Cette navigation tour à tour en eaux troubles, limpides ou agitées, m’a fait chavirer tant l’écriture est délicate, sensuelle et quelques fois surréaliste. Car le thème de tout de qui coule ici-bas est traité avec humour et les chagrins d’amour sont vite noyés dans « Un coup d’eau de vie ». J’ai une tendresse particulière pour « Les rochers de Ménéham » et « L’Ile de Batz » que je fredonne maintenant tout comme « A la claire fontaine ».
Pourtant, « Y a quelque chose qui cloche » chez Jean-Michel Brac, la marée, il l’a dans le cœur.
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Télégramme de Brest
Jean-Michel Brac a su toucher le public.

 La Marne
Jean-Michel BRAC nous fait déguster des chansons douces, amères, humoristiques ou coup de poing.

L’Echo Républicain
Jean-Michel BRAC a livré un kaléïdoscope musical enjoué, inventif et accrocheur qui en a surpris plus d’un.

Frankfurter Neue Presse
Brac : le charme parisien et la gaieté bretonne … poésie et humour.

Télégramme de Brest
Jean-Michel BRAC a donné un spectacle intimiste et chaleureux. Le public s’est laissé séduire au fil de la soirée par des textes plutôt mélancoliques tantôt grinçants tantôt encore engagés … BRAC a jonglé durant une heure et demie avec les registres les plus divers, passant sans difficulté de l’humour au sérieux. Une heure et demie de variétés tout en finesse et en nuances.

Radio « Fréquence Paris Plurielle »
Jean-Michel BRAC : des chansons qui parlent d’amour, de tendresse, de cirque, de feu, enfin des ballades au goût du jour avec un côté un peu fou, un zeste d’ivresse et des pincées d’humour.

Festival des Bardes – Nuremberg
Un régal et une interprétation expressive, du nez de clown à la chanson engagée, sans platitude.

Ouest France
Jean-Michel BRAC a enchanté la soirée-cabaret … une excellente soirée … Il chante la Bretagne puisqu’il partage son temps entre Brignogan et Paris mais ne veut pas s’enfermer dans un style …

Radio Alternantes FM – Gaël Gouret
BRAC brode des chansons, BRAC bricole nos souvenirs. Avec ses histoires en zique, il zigue zague dans nos neurones. BRAC nous conte nos vies en toc. Les choses qui clochent, BRAC les chante et ça, ça nous enchante.

Nordbayerischer Kurier-Bayreuth
Alternant humour et sujets profonds, Jean-Michel BRAC a enthousiasmé le public. Sa prestation a su toucher les jeunes comme les moins jeunes.

Stormaner Tageblatt
Un duo percutant pour un concert parfait. Promenade musicale réussie à travers Paris sous la houlette de Jean-Michel BRAC et Patricia Steinhoff … Accompagnement tout en douceur de la multi-instrumentiste Patricia Steinhoff. Aucun instrument ne semblait lui résister pour accompagner avec doigté les chansons tout en finesse de BRAC : violon, accordéon, guitare, concertina. La beauté de son chant n’était pas en reste. Un duo percutant pour une soirée de deux heures sous le signe du charme et de la gaieté, de la poésie sous ses multiples facettes, de l’humour à la mélancolie.                                                      

Chant’Essonne
Jean-Michel BRAC :  » Y a quelque chose qui cloche  » un CD de 14 chansons très originales qui fourmillent de bonnes idées.

Télégramme de Brest
Jean-Michel BRAC et Patricia Steinhoff : un duo complice. Accompagné au chant par la malicieuse Patricia Steinhoff qui est par ailleurs multi-instrumentiste (violon, acordéon, etc), Jean-Michel Brac a su toucher le public … Le final du spectacle ne manquait pas d’originalité (jouer de la flûte à bec sur un bon vieux rock des familles, il fallait y penser !)                                              

Saarbrücker Zeitung
C’est une évidence, Jean-Michel Brac adore le contact avec le public, il se sent chez lui sur scène. Les musiciens qui l’accompagnent sont de vrais comédiens (Patricia Steinhoff et Patrick Pernet).

Ouest France
Jean-Michel BRAC a enchanté la soirée-cabaret … une excellente soirée … Il chante la Bretagne puisqu’il partage son temps entre Brignogan et Paris mais ne veut pas s’enfermer dans un style …

Programmateur Festival de l’Estival, St Germain-en-Laye (78)
Jean-Michel Brac, des chansons d’une grande poésie avec un tour du côté de l’humour. Un univers pour une 1ère partie du Quatuor  » Les violons dingues « .

Anne Vanderlove
Jean-Michel Brac , un chanteur qui me touche, une grande qualité des textes. Deux raisons de le prendre en 1ère partie.

Fête de la mer, Lilia, Plouguerneau (Finistère)
Chansons de mer et de marins, l’air du large, de quoi naviguer sur de belles mélodies, une guitare et un violon qui souquent ferme.           

Christian Dente
Brac de  » l’île de Batz  » au  » Blues blasé de Blaise  » en passant par  » Je suis l’horloge  » tout un univers.

Directeur Institut Français de Graz (Autriche)
Une soirée chanson agréable et bien perçue par le public traditionnellement jeune de ce type de manifestations. Simple et efficace, excellent rapport qualité-prix : un spectacle très recommandable pour tout Institut Français visant le même public que celui de Graz et de Klagenfurt.   

Touristra (tournée d’été de 14 Villages vacances Touristra)
Jean-Michel Brac, un cuisinier des mots qui choisit avec soin ses aromates, alternant le miel ou le fiel pour nous mitonner ses chansons douces et amères, humoristes ou coups de poing. Deux spectacles, pour enfants et adultes. 

Auberge du Kéraloret, Guissény (Finistère)
Diner-spectacle très réussi avec Jean-Michel Brac, voyage en chansons de Paris à Brest.

Directrice  » Kleines Theater Bargteheide  » (Schleswig-Holstein)
Chaque passage de Jean-Michel Brac est un régal pour notre public franco-allemand friand de bonne Chanson française.                           

IME Dirinon (Finistère)
Jean-Michel Brac et Patricia Steinhoff nous ont offert un spectacle chaleureux, un programme de variétés au bon sens du terme, ils ont su capter notre public.

Programmatrice Concerts Association La Cigale Créteil
« Je l’ai connu, seul maître à bord. Entre l’Allemagne et la France, il ramenait déjà dans ses filets à rimes quelques trésors salins. Puis il a choisi avec soin son équipage. Gardant le cap par tous les temps, le trio a sillonné les côtes de France et les terres, pour le plus grand plaisir de tous. Il naviguent désormais en haute mer, avec le talent et le métier des artistes mûris au grand large. Bon vent à BRAC etc…! »

 

Concernant la DISCOGRAPHIE

« Les p’tits bleus » (14 titres – Printemps 2011)

Réseau QUOTA (19 radios, diffusion à partir de mai 2011)

Michel Kemper   Le Petit Format
Jean-Michel Brac, Les p’tits bleus , 14 titres. Ce disque est remarquable de tendresse, de pudeur, de douceurs et de tas d’autres qualités qui se révèlent au gré des plages. Plages moins marines qu’à l’accoutumée (même si le précédent album, « Chansons liquides », explorait aussi d’autres eaux troubles) : le poisson rouge est dans le bocal, le bocal dans l’urbain (« J’habite Montrouge, pas la mer rouge ») et l’urbain est triste, grisaille de cimetières, veuves même pas éplorées, orages, désespoir amoureux, moral raplapla… Pas pour rien qu’en fin de disque,« dernière chanson pour la route », Jean-Michel Brac nous donne « rendez-vous chez les baleines / pour dire bonjour aux sirènes. » Un disque triste ? Ce serait mal connaître Brac, qui, comme les chats, retombe toujours sur ses pattes, par de singulières pirouettes où l’orchestration ne compte pas pour du beurre, fut-il salé. Insistons encore : l’écriture de Brac est habile et sensible, de large palette, du tendre au drôle, souvent irrésistible.

« Ile de Batz »  (Compilation 17 titres)

« Chansons liquides » (14 titres)

Réseau QUOTA (14 radios)
Classement sur 199 productions : 1er en mai, 3ème en avril 2010

Dans son CD « Chansons liquides », Jean-Michel BRAC nous en fait boire de toutes les couleurs : de l’eau de mer, des amours à l’encre, des liquides en bars, des abers amers, une rasade de sang, une soupe avec les dieux, la mer à l’envers et une goutte de soleil dans l’eau. Tournée générale !

Claude Lemesle
Bravo pour ce CD marin. Humour, jolies trouvailles, belles humeurs. J’ai écouté toutes ces chansons avec plaisir.

Centre de la Chanson, Paris, D. Desmas
Le thème de tout ce qui coule ici-bas (l’eau, la mer, l’alcool, les larmes…) est l’astucieux prétexte à nous parler de ses amours, de son grain de folie et de sa Bretagne qui lui est chère. La voix douce et posée exprime de beaux moments de tendresse ou de loufoquerie. Une navigation tour à tour en eaux troubles, limpides ou agitées jusqu’à … plus soif.

Gilles Elbaz
Un CD plein d’audaces. C’est devenu si rare !

« 78 Tour » Le CRY
Jean-Michel Brac nous livre ici un album étonnant, plein de bulles et de remous. D’une plage à l’autre on navigue dans des mondes très différents : de l’univers énigmatique de Tim Burton (« Ca dégouline ») à la bossa nova (« Jersey »)…

« Y a quelque chose qui cloche »  (14 titres)

Chant’Essonne
Un CD de Jean-Michel Brac de 14 chansons très originales qui fourmillent de bonnes idées.                                                                                        

Radio Mon Païs Toulouse-Michel Furios
Excellent album de Jean-Michel BRAC.

Radio Alternantes
BRAC brode des chansons, BRAC bricole nos souvenirs. Avec ses histoires en zique, il zigue zague dans nos neurones. BRAC nous conte nos vies en toc. Les choses qui clochent, BRAC les chante et ça, ça nous enchante.

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Concernant les TOURNÉES EN ALLEMAGNE

Jean-Michel Brac, accompagné de Patricia Steinhoff au chant et au violon, a chanté pour les élèves de Lycées allemands de Hambourg et Lübeck (à chaque concert : 150 élèves de la 7ème à la 12ème classe). Jean-Michel Brac et Patricia Steinhoff ont tenu leur public en haleine durant 1 h 30 et ont même obtenu sa participation pour certaines chansons, grâce à un jeu de scène animé, à une grande variété dans l’accompagnement musical et à un répertoire varié fait de créations personnelles – principalement – et de quelques reprises. L’introduction de chaque chanson, tantôt en français, tantôt en allemand (que Jean-Michel Brac maîtrise parfaitement) s’est révélée efficace et précieuse pour accrocher l’attention des élèves malgré l’hétérogénéité de leur niveau d’apprentissage du français.
Attaché de coopération pour le français, Institut Français de Hambourg.

Intense duo pour un concert parfait. Promenade musicale réussie à travers Paris sous la conduite de Jean-Michel Brac et Patricia Steinhoff… A guichet fermé comme l’an dernier lors de son premier passage au théâtre. Accompagnement complice de la multi-instrumentiste Patricia Steinhoff. Aucun instrument ne semblait lui résister pour servir avec une grande sensibilité les chansons touchantes de Brac : violon, accordéon, guitare, concertina. Son chant était également largement à la hauteur de son jeu. Un duo prenant pour cette seconde soirée française de deux heures vibrantes de charme, de fantaisie, de poésie, alternant humour et mélancholie. A quand un troisième concert?                           Stormaner Tageblatt (Schleswig-Holstein)

BRAC est un remarquable chanteur, il swingue et manipule les mots avec ironie sans craindre les détours du côté de Jacques Brel und et de Leonard Cohen, il n’en reste pas moins maître à bord et convaincant.              
Plärrer Zeitung, Festival des Bardes – Nuremberg

BRAC intègre des éléments de comédie dans son programme. Le petit pianiste insignifiant du début possède en fait un talent comique évident (Patrick Pernet) et la vive violoniste se déchaîne autant sur son instrument que sur scène lorsqu’elle interprète en arrière plan des personnages de parodie (Patricia Steinhoff)
Überherrner Rundschau

Parcours culturel de Paris à Brest. Le public a été conquis par le charme français de Jean-Michel BRAC et de la violoniste-chanteuse Patricia Steinhoff. En plus de leurs créations, les deux artistes ont interprété des chansons de Georges Brassens, Serge Reggiani, Charles Trénet, Yves Montand, … En toute logique, ils n’ont pu échapper à un tonnerre d’applaudissements pour clôturer ce concert d’une heure et demie.
Lübecker Nachrichten

Un concert de Jean-Michel Brac réserve une multitude de surprises et de détails amusants qui font souvent rire les spectateurs. Brac plonge son public dans un tourbillon de sentiments. Il chante parfois de sa voix douce, dans le respect de la tradition française des chansons d’amour, avant d’enchaîner sur une chanson mouvementée et d’interpréter un gangster avide de fric (« Le blues blasé de Blaise »).
Saarbrücker Zeitung